LOI DE PROGRAMMATION DE LA RECHERCHE UNE LOI QUI PROGRAMME LA DESTRUCTION DE L’UNIVERSITÉ PUBLIQUE
MARDI 24 NOVEMBRE EN GRÈVE
CONTRE CETTE LOI ANTI-UNIVERSITAIRE
La FSU et Sud-éducation de l'université de Nantes appellent les personnels de l'université à un rassemblement :
Mardi 24/11/20 à 17 h
Place Royale à Nantes
LETTRE INTERSYNDICALE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR AU PREMIER MINISTRE SUR LE VOTE DE LA LOI LPR
La FERC CGT - FO ESR - FSU - SGEN CFDT - SNPTES - SUD Education - SUD Recherche - UNSA Education s'adresse au Premier ministre pour rappeler leur désaccords profonds du projet de loi de programmation de la recherche.
L'ensemble des organisations syndicales dénoncent deux amendements très problématiques introduits lors de son passage au Sénat :
- Le premier introduit des dérogations à l’obligation de qualification par le Conseil National des Universités pour accéder aux fonctions d’enseignant-chercheur ;
- Le second remet en cause la tradition séculaire des franchises universitaires en créant un délit d’entrave pour les établissements de l’enseignement supérieur et de la recherche.
POSITION INTERSYNDICALE SUR LE PROJET NeXT 2 « v0 »
Introduction
Le projet d’I-Site nantais est apparu en 2017. Porté par l’université de Nantes, l’École centrale de Nantes (ECN), le CHU et l’INSERM, ce projet propose de réorganiser en profondeur l’université en quatre pôles, en intégrant l’ECN comme établissement-composante. En échange, le site nantais reçoit une labellisation « I-Site », ce qui permet d’accéder à certains financements sur le projet (PIA 3).La nouvelle université, baptisée Nantes Université (NU), aura de nouveaux statuts et pourra déroger au code de l’éducation.
Ce premier projet a reçu des avis défavorables des différents comités techniques – de l’université de Nantes et du CNRS notamment – et le conseil d’administration de l’ECN l’a refusé fin 2019, mettant un terme à cette première « saison ».
Ce nouveau projet innove par les partenaires, puisque l’École supérieure des Beaux-Arts de Nantes Métropole, l’École nationale supérieure d’architecture de Nantes et l’Institut de recherche technologique Jules Verne le rejoignent. Il propose également un système de « graduate schools », pour les diplômes de niveau master.
LETTRE OUVERTE AUX CANDIDATES ET CANDIDATS AUX ÉLECTIONS MUNICIPALES DES COMMUNES DE NANTES MÉTROPOLE
Candidates et candidats aux municipales
Quel projet pour l’enseignement supérieur et l’université dans la métropole nantaise ? L’université de Nantes est une université pluridisciplinaire de formation et de recherche, réunissant plus de 37 000 étudiant·es et 4000 personnels. Elle occupe une place centrale dans l’enseignement supérieur de la métropole et de la région, fournit accès aux savoirs, compétences et diplômes aux jeunes, et participe à la constitution des nouveaux savoirs ainsi qu’à leur diffusion dans le tissu économique. Élu·es par nos collègues dans les conseils de notre établissement, nous voulons que celui-ci reste une université, régie par le Code de l’éducation, avec ses missions de service public et son ouverture à tous les publics.
Communiqué FSU Université, SUD Education : SANCTIONS DISCIPLINAIRES, L’ACHARNEMENT DU MINISTÈRE
En juillet 2018, Gildas Loirand et Marie Charvet, enseignants-chercheurs à l’université de Nantes, ont été respectivement sanctionnés par la section disciplinaire de l’établissement de six mois de retard d’avancement et d’un blâme pour des faits intervenus lors du mouvement contre la loi ORE.
Bien qu’ils aient contesté ces faits avec la plus extrême vigueur, témoignages à l’appui, ils ont néanmoins été condamnés pour « s’être associé[s], par [leurs] paroles et par [leur] posture, à la démarche vindicative » d’étudiants qui exigeaient des explications de cadres administratifs à propos du déroulement d’un examen, alors même qu’ils avaient contribué à faire retomber la tension, évitant ainsi une intervention de la police.
« FERMETURE » DE L’UNIVERSITÉ DE NANTES – COVID 19
Communiqué des organisations syndicales FSU, SGEN-CFDT, FO, SNTRS-CGT, FERC-sup CGT, SUD Education de l'Université de Nantes.
LE 5 MARS : L’UNIVERSITÉ ET LA RECHERCHE S’ARRÊTENT
Depuis le 5 décembre, aux côtés de bien d’autres secteurs, nous luttons contre la casse de notre système de retraite. Le gouvernement reste sourd à nos revendications légitimes et, à l'université, maintient sa volonté de renforcer la précarité, les inégalités entre établissements et la compétition généralisée au travers de la Loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR).
Nous, personnels mobilisés de l’Université de Nantes, appelons à rejoindre le mouvement des universités et labos en lutte, à cesser tous travaux à partir du 5 mars et à faire de ce jour le point de départ de la construction de l’université que nous voulons.
LES EFFETS DÉVASTATEURS DE LA LOI DE LA PROGRAMMATION DE LA RECHERCHE
Ce diaporama, élaboré par Sophie Orange (Snesup-FSU, université de Nantes) présente les effets dévastateurs du projet de loi LPPR (loi de programmation pluriannuelle de la recherche).
EFFETS DE LA LOI DE PROGRAMMATION DE LA RECHERCHE SUR LES PERSONNELS ADMINISTRATIFS, TECHNIQUES ET DE BIBLIOTHÈQUES
Un diaporama pour comprendre les conséquences de la Loi de Programmation Pluriannuelle de la recherche (LPPR) sur le temps de travail des personnels administratifs, techniques et de bibliothèques de l'enseignement supérieur (BIATSS : Bibliothèques, Ingénieurs, Administratifs, Techniques, Sociaux et Santé).