Depuis le 5 décembre, aux côtés de bien d’autres secteurs, nous luttons contre la casse de notre système de retraite. Le gouvernement reste sourd à nos revendications légitimes et, à l’université, maintient sa volonté de renforcer la précarité, les inégalités entre établissements et la compétition généralisée au travers de la Loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR).
Nous, personnels mobilisés de l’Université de Nantes, appelons à rejoindre le mouvement des universités et labos en lutte, à cesser tous travaux à partir du 5 mars et à faire de ce jour le point de départ de la construction de l’université que nous voulons.