La FSU, ce sont des collègues de l’université syndiqué·es, BIATSS, Enseignant·es-Chercheur·es et Enseignant·es [EC-E], présent·es dans toutes les composantes et les services communs et centraux, qui défendent ensemble le service public d’Enseignement supérieur et de Recherche [ESR], les conditions de travail et les droits de tous les personnels, titulaires et contractuels :
- Nous conseillons et informons sur leurs droits tous les personnels qui s’adressent à nous : questions sur l’évolution de la carrière, la rémunération, les congés, le droit aux primes, etc.
- Nous dénonçons la surcharge de travail qui pèse sur tous les personnels, BIATSS et EC-E, titulaires et contractuel·es, et qui résulte notamment du non-remplacement des collègues absents. La dégradation de nos conditions de travail s’accompagne de celle des études pour les étudiant·es.
- Nous luttons pour améliorer le taux d’encadrement des enseignements afin de favoriser la réussite des étudiant·es ainsi que l’amélioration de leurs conditions d’études (par le renforcement du service de santé des étudiant·es, par exemple).
- Nous dénonçons la montée de la précarité, qui déstabilise les collectifs de travail et pèse donc sur tous les agents.
- Nous accompagnons les collègues de plus en plus nombreuses et nombreux qui se trouvent dans des situations difficiles à cause de la surcharge de travail, de la montée de la précarité et de la
dégradation des collectifs de travail qui en découle. - Nous alertons sur la montée de la souffrance au travail.
- Nous nous battons pour l’égalité femmes-hommes.
- Nous défendons un fonctionnement réellement démocratique de notre établissement.
Dans toutes les instances, nous intervenons comme porte-parole de toutes les catégories de personnels. Nous portons des revendications nationales et locales.
C’est pourquoi nous demandons une augmentation d’au moins 10 % de la valeur du point d’indice et un plan pluri-annuel de recrutement d’agent·es titulaires.
C’est pourquoi nous dénonçons les dérives liées à la prétendue autonomie des universités qui aboutit à un sous-financement par l’État et à la création d’un établissement expérimental dérogatoire au Code de l’éducation.
Nous luttons :
- pour l’augmentation des salaires par la revalorisation du point d’indice
- contre le recours accru aux primes (Rifseep, Ripec…), par nature inégalitaires
- pour des primes équivalentes pour les trois filières BIATSS (ITRF, AENES, Bibliothèques), avec l’alignement des régimes indemnitaires des BIATSS sur le régime le plus favorable
- pour l’intégration des primes au traitement
- pour la baisse du temps de travail
- pour l’amélioration du déroulement de carrière • pour des recrutements massifs d’agent·es titulaires, et donc pour l’augmentation du budget de l’enseignement supérieur et de la recherche
- pour la défense des statuts face aux multiples mesures de déréglementation
- pour la défense des retraites.
DU 1er AU 8 DÉCEMBRE 2022, VOTEZ ET FAITES VOTER POUR LA FSU
Nous avons besoin d’une FSU forte dans cette nouvelle instance : le Comité social d’administration (CSA) et sa Formation spécialisée en matière de santé, de sécurité et de conditions de travail (FS-SSCT). Cette instance prend le relais du Comité technique d’établissement (CT) et du Comité hygiène, sécurité et conditions de travail (CHSCT). Nous avons protesté contre leur liquidation par la loi dite « de Transformation de la Fonction publique ».
Dans notre université, la création du CSA s’accompagne de la disparition des CHSCT de site contre laquelle nous avons protesté, qui prive les collègues d’instances locales qui jouaient un rôle positif important.
Nous continuerons à intervenir au CSA et dans sa FS-SSTC comme nous le faisons au CT et au CHSCT, avec vigilance et combativité.
Qui vote ? Tous les personnels de l’université, titulaires et contractuel·les,
mais aussi les personnels des EPST (CNRS, INSERM, etc.).